Vendéenne de souche, je reconnais une hußtre fraßche !
Les ostréiculteurs offrent en grande majorité des produits sortis de la mer que nous apprécions.
Sauf que par deux fois, au bout de cette impasse de Fromentine, je fus déçue.
Dâores et dĂ©jĂ lâouvrier qui tient cette boutique est antipathique et mal-aimable.
Passe encore son air dâours mal lĂ©chĂ© si les produits sont excellents.
Jusque lĂ je nâavais pas Ă me plaindre de la marchandise fournie, sauf quâil y a une quinzaine de jours, une huĂźtre sur la douzaine Ă©tait complĂštement vide,
Bon, cela peut arriver. Je lui en fais part la fois dâaprĂšs, et du coup, il mâen remet une autre de plus.
Quelques jours plus tard jây retourne pour acheter 2 douzaines afin que nous les dĂ©gustions le soir mĂȘme.
Sauf que lĂ , 4 huĂźtres nâavaient plus dâeau, elles Ă©taient sĂšches !
Au prix de la douzaine, âŠ.jâĂ©tais mĂ©contente.
Je décide de lui en faire la remarque.
Ce monsieur a trĂšs mal pris la chose : il mâa dit que les huĂźtres se trouvaient dans lâeau, ce qui est FAUX elles se trouvaient dans un panier sorties de lâeau. Je ne sais pas depuis combien de temps.
Il a haussĂ© le ton en vocifĂ©rant que « jâĂ©tais la seule Ă lui dire ça, que jâĂ©tais dĂ©jĂ venue pour une huĂźtre vide, quâil fallait que je lui rapporte les coquilles »âŠâŠ.
Bref, lâincomprĂ©hension sâinstallant, ma bonne foi nâĂ©tant pas reconnue, il me traitait quasi de menteuse, alors jâai tournĂ© les talons !
DĂ©jĂ quâavec le COVID 19 il nây a plus personneâŠâŠ «